Dans un climat politique déjà marqué par les tensions dans le Haut-Katanga, une nouvelle tentative de déstabilisation vient frapper l’honorable Patrick Katengo Mafo. Cité à tort dans une affaire liée à la vente des remblais de la Gécamines, le nom du député circule aussi dans une prétendue affaire judiciaire avec le pasteur Chekinah Tshilumba.
Pourtant, selon des sources concordantes, aucune procédure légale n’oppose ces deux personnalités, et tout porte à croire qu’il s’agit d’une manœuvre politique savamment orchestrée.
Des voix autorisées proches du dossier confirment que cette campagne de désinformation serait fomentée par des adversaires politiques bien identifiés, notamment des fidèles de l’ancien président Joseph Kabila et de l’opposant Moïse Katumbi.
En lien avec certaines figures rattachées à l’AFC/M23, ces acteurs s’emploieraient à salir l’image d’un homme politique reconnu pour sa loyauté envers le président Félix Tshisekedi. Incapables de compromettre Patrick Katengo Mafo sur le fond, ses détracteurs s’acharnent à recourir à des insinuations dénuées de toute preuve juridique ou morale.
En réalité, l’honorable Katengo paie le prix de son engagement sans faille aux côtés du chef de l’État. Après l’avoir faussement accusé de collusion avec des groupes insurrectionnels, ses ennemis politiques se rabattent désormais sur des allégations montées de toutes pièces. L’objectif est clair : l’isoler politiquement et affaiblir la base du pouvoir en place en s’attaquant à ses piliers les plus constants.
Face à cette situation, il revient aux autorités judiciaires et sécuritaires de jouer pleinement leur rôle. La lumière doit être faite sur ces accusations mensongères, afin de préserver l’intégrité des responsables politiques qui s’investissent sincèrement pour la paix, la stabilité et le développement de la République démocratique du Congo.
Moïse Kashala
