Cette année, le thème mondial portait sur les déchets plastiques, une thématique d’autant plus pertinente pour Kisangani où l’usage massif de plastiques non biodégradables reste peu contrôlé.
Elle a insisté sur l’importance de traduire les discours en actions concrètes.
« C’est bien de célébrer cette journée, mais c’est encore mieux de mettre en pratique tout ce que nous savons sur l’environnement. Sensibilisons les autres qui n’étaient pas là, car l’environnement nous appartient à tous. »
Des pistes d’alternatives ont été évoquées, notamment la réduction de la consommation de plastique et la création d’emballages alternatifs. Pour FOCAD, il ne s’agit pas seulement d’informer, mais de transformer les habitudes de consommation.
« Gérer les déchets plastiques est difficile, alors réduisons d’abord leur usage. Nous devons agir avec les autres jeunes pour créer des solutions durables », a souligné la coordinatrice.
Dans un élan de responsabilité collective, les jeunes participants ont également appelé à renforcer la socialisation environnementale en milieu urbain, convaincus que l’implication des citoyens dans la gestion écologique peut faire la différence.
« Aujourd’hui, nous avons choisi de militer contre les mauvaises pratiques et d’encourager la socialisation des jeunes pour que notre ville soit propre », a résumé un des participants.
Kisangani, à travers cette mobilisation de sa jeunesse, donne ainsi un signal fort : la conscience écologique ne se limite pas à une journée de commémoration, mais s’enracine dans des choix concrets, des engagements quotidiens et une volonté partagée de bâtir un avenir plus vert.
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