Véronique Mokoto, fondatrice de la fondation Impossible n’est pas Véronique Mokoto, a mis à disposition des fonds pour couvrir les frais de dépôt des travaux d’une cinquantaine de finalistes du premier et du second cycle issus des universités et instituts supérieurs de Kisangani.
Ce mardi, au siège de la Génération Doudou Fwamba Likunde, l’équipe de la fondation a procédé à la remise de ces enveloppes aux étudiants bénéficiaires. Un geste qui, selon elle, s’inscrit dans le cadre de son engagement à soutenir la jeunesse et à accompagner la vision du chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi pour la gratuité de l’enseignement et l’encadrement de la jeunesse.
Les bénéficiaires n’ont pas caché leur joie et leur gratitude. Prosper Ndumba Mangongo, étudiant finaliste en santé publique à la faculté de médecine, aussi Président base I.T.B, explique que cette aide tombe à point nommé.
« Grâce à ces fonds, je pourrai imprimer mes travaux et prévoir un rafraîchissement pour mes invités. Cela représente un réel soulagement pour moi et ma famille, et un encouragement à bien terminer mon cursus. »
Véronique Mokoto, fondatrice de la fondation «Impossible n'est pas Véronique Mokoto»
Sarah Koymoke Selenge, étudiante en troisième année de droit, aussi vice président de la base Météo, témoigne également de son émotion.
« J’ai eu la joie de recevoir cette enveloppe. Je remercie sincèrement Madame Véronique Mokoto, ainsi que le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi et le ministre des Finances Doudou Fwamba Likunde. Ce soutien m’aidera énormément à finaliser mon mémoire et me donne confiance pour la dernière étape de mes études. »
Gatien Lokumete, Président de la fondation
En clôturant la cérémonie, le président de la fondation, Gatien Lokumete, a rappelé que la remise de ces fonds n’est qu’un début. Il a précisé que d’autres appuis et surprises sont prévus pour les finalistes qui défendront leurs travaux dans les prochains jours, soulignant ainsi la volonté de la fondation de rester aux côtés des étudiants jusqu’à la fin de leur parcours académique.
Dido L.
